Parfois dans la vie, des petits miracles arrivent. Le printemps arrive enfin sur Paris alors qu'il pleuvait des cordes il y a quelques jours encore. Une personne proche finit par se remettre d'une dépression dans laquelle elle était plongée depuis le début de l'année. Une chaîne de télévision décide d'avancer la date de démarrage de sa télé-réalité de l'été, à ma plus grande joie.
Parfois donc, des petits miracles arrivent. Et quand un de ces miracles vous concerne plus particulièrement, les journées deviennent lumineuses et légères. Ça a été mon cas cette semaine.
Parfois donc, des petits miracles arrivent. Et quand un de ces miracles vous concerne plus particulièrement, les journées deviennent lumineuses et légères. Ça a été mon cas cette semaine.
Comme vous l'aviez peut-être lu, mon histoire de quelques semaines avec Andersen s'était brusquement interrompue le jour où il avait lu ce blog et avait décidé que nous n'attendions pas la même chose (voir l'article "24 heures chrono"). Ce retournement de situation m'avait plongée dans de nouvelles interrogations concernant la constance des gens, la difficulté de trouver quelqu'un de bien, qui croit en ce qu'il dit et qui respecte la personne en face. Et j'avais à nouveau perdu l'espoir de pouvoir un jour me trouver dans une relation belle et saine, auréolée d'un happy ending. Après avoir effacé Andersen du répertoire de mon téléphone, j'avais pris la décision de tourner la page aussi vite que lui et d'oublier ce fâcheux épisode.